5eme sujet (Première partie) - Concours d'antagonistes

Ca y est, à notre tour d'avoir notre ennemi juré ! Je vous propose donc pour cette fois de créer l'antagoniste des Illustres.
- Tout comme la création de votre personnage, je vous demande de lui donner un nom (que vous pouvez tenir secret au début, mais dans ce cas merci de me l'envoyer tout de même en privé)
- Il vous sera demandé de lui créer un physique, avec un peuple adéquat. LES DIEUX SONT AUTORISÉS !
- Pour quelle raison veut-il mettre fin au groupe des Illustres ? Seulement eux ? Précisez
- Les personnages secondaires intervenants dans vos récits peuvent être de potentiels ennemis !

Participations regroupées ici : https://www.deviantart.com/les-illustres/gallery/64116019/Sujet-5-Antagoniste

Dans la fraîcheur naissante de la nuit, une aura sombre semblait peser sur le camp des Illustres. Glycenn s'était postée sur un surplomb rocheux pour surveiller les alentours. Elle avait un mauvais pressentiment...
Soudain une épaisse fumée recouvrit les lieux, et une silhouette mystérieuse s'en dégagea progressivement !
Glycenn restait sur ses gardes… elle ne parvenait pas à identifier les intentions de cet étrange individu… Il ne semblait pas amical mais ne semblait pas non plus très agressif…

La silhouette encapuchonnée se mit alors à parler…


- Bonsoir. Cela fait quelques temps que je vous observe. Vous, Illustres, m'intriguez... Vous vous êtes interposés dans mes plans à plusieurs reprises. Que cela soit volontaire ou accidentel : vous avez attiré mon attention. Et c'était bien la dernière chose à faire...

- Et quel est le nom de celui qui me menace moi et mes amis, répondit le chef des Illustres en restant sur la défensive.
A cet instant là, l’individu releva lentement sa capuche et dévoila son visage ! C’était bel et bien un jaguarian. Son pelage tirait sur le bleu-ciel et ses cheveux mi-longs étaient blonds-dorés. Sa mine était grave, aucune émotion ne transparaissait sur son visage : ni sourire sadique, ni colère contenue, juste un air sérieux.

- Ceux qui ont eu le malheur de croiser ma route, reprit-il sur le même ton, me surnomme « l’Ancien »… Ce nom devrait faire l’affaire. Je suis le leader du Troisième Œil : une organisation secrète constituée d’espions et d’assassins jaguarians formés par mes soins.

- Et que voulez-vous de nous ? Questionna Glycenn.

- Jusqu’à aujourd’hui, je pensais qu’aucun grain de sable ne s’infiltrerait dans les rouages de mon projet… mais tes compagnons se sont mêlés de choses qui ne les concernaient pas ! Les Légendaires sont trop occupés par des problèmes urgents et les Fabuleux sont des héros populaires mais limités. Alors que vous, tout aussi insignifiants que vous êtes, vous représentez une menace que je ne peux me permettre d’ignorer…

- Alors quoi ? Vous êtes venu vous battre ?
Le ton déterminé de la jeune femme n’impressionna nullement le jaguarian. Ce dernier, en un éclair, parvint à la saisir à la gorge ! Désormais il la tenait au-dessus du vide à la seule force de son bras. Il s’assura qu’elle le regarde dans les yeux et continua son explication…

- Il me serait facile de t’éliminer et de m’assurer que mes agents s’occupent définitivement de tes amis ! Mais je ne suis pas venu pour cela… Je tenais juste à jouer cartes-sur-table avec vous afin que vous preniez conscience des ennuis que vous risquez face à moi.

- Que… que cherchez-v… vous ?

- Dans les grandes lignes : je veux offrir à mon peuple un avenir ! Un avenir dans lequel les humains ne seraient plus un problème.
Alors que Glycenn commençait à suffoquer, l’Ancien la relâcha sur le sol et tourna les talons. Il disparaissait peu à peu dans la brume qu’il semblait créer à partir d’un mécanisme caché sous son manteau.

- Notre prochaine rencontre sera beaucoup moins amicale ! Et n’oubliez jamais que, peu importe l’endroit où vous serez : le Troisième Œil sera fixé sur vous !


Après ces quelques paroles, il se volatilisa dans le brouillard artificiel…

Skritz "le dieu incomplet"



Skritz est une créature humanoïde créé par les dieux pour aider les orchidiens à vivre plus en harmonie avec la nature.
Mais l'accident Jovénia interrompit sa conception. Les dieux trop préoccupés par cet accident finirent par l'oublier.
Skritz prit vie malgré tout. Il n'avait qu'un bras, il lui manquait tout les autres membres ainsi qu'un œil.
Grâce a son contrôle sur les plantes, il réussit à se rendre sur Alysia où sa première rencontre se fit avec un jaguarien. Il le tua et lui prit ses jambes afin de se les greffer.
Il rencontra ensuite un monslave en fuite. Encore faible il ne réussit pas à le tuer mais put lui voler un de ses bras, se faisant lui même arracher son seul membre d'origine.
Fou de rage, il parcouru Alisya à la recherche des auteurs de l'accident qui était l'origine de son abandon par les dieux, tuant tout ceux se trouvant sur son chemin.
Il rencontra alors les Illustres qui lui tinrent tête lors de leur affrontement. Empli de haine envers ces êtres lui tenant tête alors qu'il était en pleine forme et intéressé par les bras de certain membre des Illustres, il décida de les poursuivre afin de les tuer.

Un jeune couple se tenait dehors dans le froid de la nuit claire. Au bord du lac, ils s’échangeaient paroles mielleuses et milles et une promesses d’amour. La demoiselle, convaincue par les sentiments de sa moitié, montra le ciel pour sceller le lien qui devait les unir.

« - Tu vois cette étoile filante? Ce sera la marque de notre amour et rien d’autre que la mort ne pourra nous séparer. »

Le couple s’embrassa, sans se rendre compte que la météorite grossissait à chaque seconde qui passait. L’étoile tint parole en les réunissant même dans la mort, le poids de cette promesse ancrant le couple à leur terre natale.
Le bruit de l’impact réveilla le village qui se trouvait à quelques lieues de là. Les villageois, curieux, se rendirent sur le lieu pour observer le phénomène. Le chef du village s’approcha du cratère encore fumant. Il éventa la fumée qui lui bloquait la vue, voulant voir d’un peu plus près cette météorite.
Un tentacule s’éleva lentement, dansant presque devant les yeux du vieil homme. Ce dernier, intrigué, approcha sa main pour toucher cet organisme inconnu, qui s’arrêta, l’invitant à s’avancer un peu plus. Il allait presque toucher la chose inconnue lorsque, aussi vive que la lumière, une autre était apparue, transperçant le chef en plein cœur. Les villageois ne comprirent pas un seul instant ce qui venait de se passer, la peur et l’incompréhension les clouant sur place tandis que d’autres tentacules sortaient à leur tour du sol.
Le dernier être humain vivant achevé, une créature d’où partait les tentacules sortit du trou, léchant les gouttes de sang qui coulaient de sa bouche. L’être, croisement entre un jaguarian et une pieuvre des profondeur avec sa chevelure formée d’excroissances mortelles, s’assit un instant, accumulant les souvenirs de ses proies. Émettant d’abord des grognements, il parvint peu à peu à produire des sons proches de celles que les villageois utilisaient.

« - Enfin! Ma faim va à nouveau pouvoir être assouvie. » dit le monstre dans un sourire sadique. Il huma l’air, une odeur ayant attirée son attention.
« - Il semblerait que certaines créatures soient dotées d’une délicieuse énergie. Je vais me régaler… »

L’extra-terrestre s’élança alors à travers le village, détruisant tout sur son passage par pur plaisir, avant de rejoindre la route pour continuer son carnage.

"Ma chère Miananne...
Tu me retiens prisonnier depuis trop longtemps...
Tu m'empêches de voir le ciel et de goûter le sang depuis trop longtemps. Tu m'as ignoré pendant tant d'années...
Tu suis le chemin de ma mère, tu continues son travail de geôlière, sans te soucier de mes sentiments. En me mettant là-dedans, elle m'a enlevé tout ce que j'avais...
Alors, à mon tour, je vais t'enlever tout ce que tu as. Et ta seule possession, ton seul bonheur, ce sont eux...
Les Illustres.
Je veux te voir pleurer. Je veux te voir crier.
Je t'obligerai à me regarder me repaître de leur entrailles, les tuer un par un...
Tu verras leur peur...
Et au dernier moment, je te tuerais et apporterais ton corps disloqué et sans vie à ma mère Gaméra.
Alors attention, petite geôlière...
Attention, j'arrive...
Attention, ARC arrive..."

Après des siècles d’obéissance, Anathos jugea que la grande prêtresse et magicienne Circé méritait une récompense. Il lui proposa de faire d’elle la femme la plus riche du monde, de faire d’elle une reine, de lui construire mille palais… mais rien de tout cela n’intéressait le belle et grande Circé. Folle amoureuse du dieu, elle ne désirait de lui qu’un enfant. Anathos accepta et après de folles nuits d’amour et des mois d’attente, la grande prêtresse mit au monde deux beaux enfants. Un garçon du nom de Minos et une fille, Scylla. Ces deux demi-dieux étaient d’une beauté envoûtante au point que leur père ne pu s’en séparer. Il les emmena au royaume des Dieux et les éleva aux côtés de sa nouvelle épouse comblée, Circé. La mère et ses enfants vivaient parmis les autres Dieux qui ne comprenaient pas la présence de ces demis-mortels autre part que sur Alysia. Anathos voulait offrir le monde à ses enfants, un monde à son image. Les Dieux comprirent que s’il avait retiré son épouse et ses enfants de leur terre, il comptait la détruire. Mais ils ne purent réagir à temps et ce qui devait arriver arriva, Alysia fut détruite ainsi que la moitié de l’univers. Le corps d’Anathos explosa, ne laissant que son âme à la dérive que les dieux enfermèrent dans la porteuse sous la surveillance du gardien. Circé ayant compris qu’elle et ses enfants étaient en danger rassembla la totalité des pouvoirs que lui avait confié son époux et effectua un sort de protection sur ses enfants. Malheureusement, bien que Scylla eu finit d’être protégée, Minos n’en était qu’à la moitié quand les dieux débarquèrent. Ils privèrent la mère et ses enfants de leurs pouvoirs et les envoyèrent sur la nouvelle Alysia, leur laissant tout de même une demeure et de quoi vivre le restant de leur vie de mortels. Les dieux n’avaient pas eu connaissance du sort de protection qui recouvrait Scylla, sort qui avait fonctionné. La belle grandit au même rythme de son frère mais à l’âge de vingt ans elle cessa de vieillir. Elle regarda sa mère et son frère vieillir, tomber malade et mourir comme les simples mortels qu’ils étaient devenus. Ses pouvoirs ainsi que sa rage envers les dieux grandissaient à mesure que les siècles passaient. Elle se faisait discrète pour ne pas attirer l’attention des dieux, elle changea son nom en Calypso, elle modifia son apparence et masqua ses pouvoirs. Des siècles durant elle chercha une entité capable de l’aider à se venger des dieux, en vain. Mais un jour, elle entendit des rumeurs sur le retour de son père Anathos mais également sur la présence de deux groupes de justiciers se préparant à tuer le dieu, les Légendaires et les Illustres. Ayant conscience de sa beauté envoûtante, elle décida de charmer le groupe pour les rejoindre et les attaquer de l’intérieur après avoir gagné leur confiance.

Scylla n’a pas subit l’effet Jovénia mais quand elle est sous la forme de Calypso elle se plie à l’apparence d’enfant. Sous cette forme elle peut être blessée et tuée. Elle est douée au combat au corps à corps. Elle possède un kunaï empoisonné forgé par les elfes, il lui revient en main comme l’épée de Danaël. Si elle laisse tomber le masque de Calypso elle redevient Scylla la toute puissante. Elle possède des pouvoirs plus grands que tous les habitants d’Alysia, elle est une demi-déesse fille de la magicienne et prêtresse la plus puissante de la première Alysia, elle a hérité des pouvoirs de ses progéniteurs et après des siècles d’entraînement elle les maîtrise à la perfection. Sous cette forme il est impossible de la blesser ou de la tuer, sauf si quelqu’un trouve comment annuler le sort de protection de sa mère.